The United Nations Office for Project Services (UNOPS)

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Des millions de litres de carburant arrivent à Gaza pour soutenir les interventions humanitaires

Depuis le début du cessez-le-feu, l’UNOPS a livré près de trois millions de litres de carburant pour répondre aux besoins humanitaires urgents à Gaza.

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Dans une course contre la montre, des équipes de l’UNOPS remplissent camion après camion pour assurer l’acheminement de carburant à Gaza afin de soutenir les opérations vitales des Nations Unies et d’organisations humanitaires, d’alimenter en électricité des hôpitaux, des boulangeries et des abris, ainsi que de répondre à divers besoins urgents.

Une travailleuse humanitaire examine une école endommagée à Gaza.
Activités en réponse à la crise à Gaza

Le conflit en cours à Gaza continue d’avoir des conséquences dévastatrices pour le peuple palestinien. En collaboration avec les Nations Unies et d’autres partenaires, l’UNOPS soutient les efforts d’aide humanitaire.

Avant le cessez-le-feu, la quantité minimale de carburant nécessaire pour répondre uniquement aux besoins les plus critiques était estimée à 100 000 litres par jour. Les volumes quotidiens actuels sont dix fois plus importants.

L’augmentation du volume d’aide est une réalisation importante pour toutes les parties. À l’instar de toute la famille des Nations Unies, l’UNOPS est déterminé à soutenir la mise en œuvre de ce cessez-le-feu et à fournir des secours aux côtés de ses partenaires humanitaires. »

Jorge Moreira da Silva - Directeur exécutif de l’UNOPS

« Cette opération humanitaire reste extrêmement complexe. Il y a de sérieux défis et d’importantes contraintes, notamment en raison du manque d’infrastructures fonctionnelles et de routes ainsi que de l’ampleur des destructions », déclare Jorge Moreira da Silva, Directeur exécutif de l’UNOPS.

« De nombreux aspects essentiels de toute intervention humanitaire dépendent du carburant, puisque les infrastructures ne peuvent fonctionner sans une alimentation de base en électricité. Compte tenu de l’ampleur des besoins à Gaza, cet aspect est encore plus critique », ajoute-t-il.


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